La concordance entre le Coran et les sciences modernes

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La concordance entre le Coran et les sciences modernes

La concordance entre le Coran et les sciences modernes

La concordance entre le Coran et les sciences modernes

Le Coran est la dernière Révélation, et une preuve, non seulement pour les Arabes païens d’il y a 1400 ans, mais également pour les scientifiques d’aujourd’hui. L’une des plus remarquables qualités du Coran, pour nos contemporains, est peut-être la concordance qui existe entre le contenu du Coran et de nombreuses découvertes de la science moderne.
L’un des premiers scientifiques occidentaux à avoir réalisé une étude sérieuse sur le sujet, est Maurice Bucaille, auteur du livre La Bible, le Coran et la Science. Dans cet ouvrage, il compare les affirmations ayant trait à la nature et aux sciences, dans la Bible et le Coran. Voici sa conclusion :
 Le Coran n’est pas seulement exempt de toute contradiction dans ses récits, contradictions qui sont le signe des différentes manipulations humaines qu’ont subi les différents Evangiles, mais il a une qualité qui lui est propre, visible pour ceux qui désirent l’examiner de manière objective et à la lumière de la science, à savoir sa concordance totale avec les données de la science moderne. 
Le sujet de cet article, l’embryologie, est l’un des domaines les plus remarquables dont la description se trouve détaillée dans le Noble Coran. Certains aspects du développement du fœtus sont mentionnés dans le Coran ; des étapes de ce développement qui ne pouvaient pas être connues à l’époque du Prophète Mohammad  à cause de la taille du fœtus à ces stades, qui ne peut pas être perçue à l’œil nu, mais au moyen d’un microscope.
Le Coran dit (sens des versets) :
•  Qu’avez-vous à ne pas vénérer Allah comme il se doit, alors qu’Il vous a créés par phases successives.  (Coran 71/13-14)
•  Nous avons certes créé l’homme d’un extrait d’argile. puis Nous en fîmes une goutte de sperme (nutfah) dans un reposoir solide. Ensuite, Nous avons fait du sperme une adhérence; et de l’adhérence Nous avons créé un embryon (mudghah); puis, de cet embryon Nous avons créé des os et Nous avons revêtu les os de chair. Ensuite, Nous l’avons transformé en une tout autre création. Gloire à Allah le Meilleur des créateurs!  (Coran 23/12-14)
L’utilisation de l’expression (sens du verset) : ‘extrait d’argile’ signifie, en d’autres termes, que nous avons été créés à partir de terre.
Le mot ‘Nutfah ’ désigne une petite goutte.
De même la description de la phase suivante comme ‘une adhérence’ représente avec exactitude la phase où l’ovule fécondé s’attache à l’endomètre grâce à des cils. Le terme arabe utilisé dans le Coran ‘Alaqah’ peut prendre le sens de ‘sangsue’. Or ceci décrit le processus de l’implantation, qui a lieu pendant les premiers jours, et en un seul mot, d’une manière entièrement correcte et précise.
Le terme ‘Alaqah’ a également la signification de  ce qui adhère .
Ceci montre une partie de la précision de la description de ce mot. Il trouve son origine, en arabe, dans le verbe ‘Aliqa’ signifiant ‘s’attacher, se suspendre, se balancer, s’accrocher, coller,  adhérer à, attraper, se faire prendre, fixé à… et d’autres formes du verbe ont d’autres significations  proches, dont ‘s’attacher émotionnellement à quelqu’un. (Définitions tirées du dictionnaire Hans-Wehr)
Et toutes ces significations s’appliquent à merveille au processus durant lequel l’ovule fécondé vient se loger dans l’utérus.
Le nom ‘Alaqah’ fait également référence à ‘sangsue médicale’ et ‘caillot sanguin’, la sangsue étant une petite créature intéressante, une créature parasite qui vit en se nourrissant du sang qu’elle suce du corps de celui auquel elle s’attache. Ce processus n’est pas uniquement similaire aux premières phases du développement de l’embryon, mais ce dernier, dans ces premières phases, ressemble effectivement à une sangsue.
L’utilisation d’un nom verbal met en évidence la signification ‘d’une chose qui s’attache’. Et concernant le caillot de sang, il est nécessaire d’indiquer que c’est le processus de formation de caillot qui donne la signification de ‘s’attacher’ à ce mot et non pas le sang. Quand le sang coagule, il forme une masse collante, ce qui explique l’utilisation du mot ‘Alaqah’ pour désigner cette masse. Nous avons également un liquide vivant en passe de devenir une masse solide, ce qui est une description précise de la formation de l’embryon, passant de cellules qui se multiplient pour former cette masse liquide, qui formera à son tour, une structure compacte de tissus.
La description de  un embryon (‘Modghah’) . ‘Modghah’ est un mot arabe qui signifie également ‘  chair mâchée  fait référence à quelque chose qui ressemble à des traces de dents.
Ceci décrit avec précision la genèse des somites. Hamilton, Boyd et Mossman ont dit que  les somites sont des structures embryonnaires évidentes en surface, pendant les premières phases de la formation de l’embryon. Elles sont la base à partir de laquelle se développe la plus grande partie du sclérotome et des muscles. 
 Et puisqu’ils forment une des caractéristiques externes de l’embryon , l’âge de ce dernier est calculé en fonction du nombre de ces somites. Ces caractéristiques ainsi que l’arc branchial, apparaîtront également à l’âge de quatre semaines, donnant à l’embryon cette forme de ‘chair mâchée’ dans laquelle les traces de dents sont présentes.
Vers la 5ième  semaine de son développement, la structure de l’embryon est squelettique. Ainsi ce qu’on voit dans des images d’embryons à cet âge, est la structure osseuse ainsi que quelques organes semi-translucides.
Les os à ce stade, ont une structure et une forme et sont les caractéristiques les plus visibles de l’embryon, mais ils ne sont pas totalement calcifiés (puisque plusieurs os sont toujours à leur phase finale de calcification vers l’âge adulte.)
Durant les semaines qui suivent, un changement tout à fait visible a lieu dans l’apparence de l’embryon. Et au lieu de voir des os, tout ce que l’on peut voir est un corps nu et l’embryon prend plus une apparence humaine. C’est en référence à cela que la signification et le ton du verset susmentionné renvoie le plus :  … et Nous avons revêtu les os de chair… 
La cosmologie est la branche de l’astronomie qui étudie l’origine, la structure et l’évolution de l’Univers dans son ensemble. A travers l’histoire, la science et la religion ont essayé d’expliquer l’univers mais leurs explications ont souvent été contradictoires l’une par rapport à l’autre. La cosmologie moderne, qui applique des rapports mathématiques particuliers et des théories scientifiques pour essayer de trouver une explication, est essentiellement un produit du 20ème siècle. La recherche cosmologique contemporaine est basée sur une description mathématique de l’univers, développée dans les années 1900, par Albert Einstein dans le cadre de ses théories de la relativité restreinte ou générale.
Ces théories exigent des connaissances mathématiques très sophistiquées, pour être parfaitement comprises. Elles concernent essentiellement les lois du mouvement dans des conditions de célérité importante approchant la vitesse de la lumière (relativité restreinte), et l’impact de champs gravitationnels importants (relativité générale), appliqués pour expliquer les phénomènes cosmologiques. Ce qui est étonnant et démontre l’universalité de l’Islam, est que plusieurs résultats scientifiques de la cosmologie moderne, et ce d’après plusieurs scientifiques, semblent avoir été mentionnés dans le Noble Coran, révélé par Allah, exalté soit-Il, au Prophète Mohammad  depuis plus de 1400 ans.
Parmi ces résultats scientifiques : a. la théorie du Big Bang sur la création de l’Univers, b. l’expansion de l’Univers et c. la relativité du temps.
La théorie du Big Bang et l’unité de la création :
La plupart des cosmologistes contemporains ont accepté la théorie du Big Bang pour expliquer la naissance de l’Univers. Cette théorie stipule que l’Univers, a débuté à partir d’un point unique (ou ‘entité unique), dense et chaud. Et à partir de ce point s’est formée ce qu’on appelle souvent ‘la soupe cosmique’, en référence à l’échange constant entre la matière et l’énergie sans aucune séparation entre les étoiles et les planètes, ou les cieux et la terre, tels que nous les connaissons.
Le Noble Coran montre une très grande concordance avec cette théorie, Allah, exalté soit-Il,  dit (sens du verset) :
 Ceux qui ont mécru, n’ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l’eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas?” (Coran 21/30)
Ce verset décrit de manière précise l’unité initiale de toute la création et la division ultérieure de l’Univers sous la forme que l’on connaît aujourd’hui. Abd Allah Youssof Ali, dans ses notes attachées à sa traduction anglaise de la 21ième sourate du Coran, souligne que plus l’Homme acquiert de connaissances du monde matériel qui l’entoure, plus il développe sa perception de l’unité primordiale du cosmos. A titre d’exemple, il cite la découverte de la relation directe entre les mesures de l’activité des tâches solaires et les changements dans le champ magnétique terrestre. Nous pouvons trouver de nombreux autres exemples dans la vie quotidienne, dont l’influence de la lune sur les marées et sur le cycle menstruel des femmes, ou encore l’influence du champ magnétique terrestre sur la migration des oiseaux, les forces gravitationnelles et centrifuges qui permettent au système solaire d’être harmonieusement uni, empêchant la dérive des planètes ou leur écrasement les unes contre les autres.
Essentiellement, l’unité de la création continue à exister, non pas sous la forme d’une entité unique, mais à travers les différentes relations qui permettent aux différents éléments de la création de maintenir leur lien avec ‘l’unicité’ initiale de l’Univers.
L’expansion et la structure de l’Univers :
Le Coran mentionne l’expansion continue de l’Univers, (sens du verset) :  Le ciel, Nous l’avons construit par Notre puissance: et Nous l’étendons [constamment] dans l’immensité.  (Coran 51/47). L’Américain, Edwin Hubble avait découvert que, plus une galaxie est éloignée de la Terre, plus sa vitesse d’éloignement est grande. En effet, il a découvert que le mouvement d’une galaxie est proportionnel à sa distance. Ce qui signifie que si une galaxie est dix fois plus loin par rapport à une autre galaxie, sa vitesse d’éloignement est dix fois plus grande.
En se basant sur cette découverte et sur d’autres observations, les scientifiques sont arrivés à la conclusion que l’Univers est en expansion continue. De plus Dr. Haruk Nurbaki, dans son livre ‘les versets du Coran et les réalités de la science’, mentionne que le Coran a également suggéré une structure de l’Univers qui correspond aux résultats scientifiques modernes. Le Coran cite (sens du verset) :  ‘Allah’ Celui qui a créé sept cieux superposés […]  (Coran 67/3)
Dr. Nurbaki met en corrélation la référence aux ‘sept cieux’ et la description des régions cosmiques donnée par les scientifiques contemporains. Il affirme que, lorsqu’on regarde l’espace à partir de la Terre, on est entouré par sept champs magnétiques qui s’étendent à travers l’espace infini. Ces champs consistent en : 1. Le domaine spatial qui englobe la Terre et le système solaire ; 2. Le domaine spatial de la galaxie de la Terre, la voie lactée ; 3. Le domaine spatial occupé par un ‘groupe local’ de galaxies comprenant la voie lactée ; 4. Le champ magnétique central de l’Univers, représenté par un groupement d’amas de galaxies ; 5. La bande de quasars qui sert de  laboratoire d’éclosion d’étoiles  ; 6. Le domaine de l’Univers en expansion, représenté par les galaxies les plus éloignées, et 7. Le champ de l’espace le plus éloigné représentant l’infini.
La relativité du temps :
Dans un article intitulé ‘Une nouvelle méthode coranique pour la détermination de la valeur de la célérité C’, Dr. Mansour Hassab-Elnaby affirme que le Coran a établi un système de référence spatio-temporel qui démontre la relativité du temps et la constance de la vitesse de la lumière (représentée par ‘C’ dans les notations scientifiques). Albert Einstein avait utilisé ces concepts pour démontrer ses célèbres  équations de champ , qui fournissent une explication mathématique de l’interaction qui existe entre la matière, l’énergie, l’espace et le temps dans l’Univers. La base de l’article de Dr. Hassan-Elnaby est le verset coranique (sens du  verset) : Du ciel à la terre, Il administre l’affaire, laquelle ensuite monte vers Lui en un jour équivalent à mille ans de votre calcul.  (Coran 32/5)
Par conséquent, le Coran suggère que le temps n’est pas absolu dans l’Univers, une telle découverte n’a été faite que vers le début du 20ème siècle. Selon Dr. Hassab-Elnaby, le verset susmentionné, fait référence un ‘système cosmique’ d’une célérité extrêmement élevée, qui permet de parcourir, en un jour, la distance que la lune parcourt autour de la Terre pendant une période de mille ans. Et l’utilisation du calendrier lunaire dans la détermination du temps sur Terre est mentionnée dans le verset (sens du verset) :
 C’est Lui ‘Allah’ qui a fait […]  de la lune une lumière, et Il en a déterminé les phases afin que vous sachiez le nombre des années et le calcul (du temps) […] (Coran 10/5)
Ainsi, Dr. Hassab-Elnaby a utilisé la relation mathématique mentionnée dans ce verset, –une journée d’un point de vue cosmique est égale à 1000 années d’un point de vue terrestre-, ainsi que des données scientifiques sur les mouvements de la Terre et de la Lune,  pour calculer la vitesse qui fournit la relation entre les deux systèmes d’estimation du temps. Il a signalé que la vitesse qui en résulte est 299 792,458 kilomètres par seconde, qui est exactement, et à la virgule près, égale à la vitesse de la lumière enregistrée par l’Institut national des mesures et de la technologie des Etats-Unis.
Le Coran en tant que part de l’ordre Universel :
La corrélation existant entre les découvertes scientifiques, pendant le dernier siècle, et le Coran, met en évidence l’importance de la préservation des paroles écrites, chose soulignée par l’Islam car il rapproche espace et temps, et fournit des éléments d’inspiration et de vérification pour ceux qui n’ont pas connu le Prophète Mohammed  et ses Compagnons, qu’Allah soit satisfait d’eux. Elle a également poussé certains scientifiques à étudier, de manière plus approfondie, le Coran.
Dr. Maurice Bucaille, membre de l’Académie Française des Sciences, et auteur de l’ouvrage La Bible, le Coran et la Science, déclare :  … Comment en être étonné lorsqu'on sait que, pour l'Islam, la religion et la science ont toujours été considérées comme deux sœurs jumelles et qu’aujourd’hui, alors que la science connaît un tel progrès, elles continuent à être associées […] De nos jours, les progrès accomplis grâce aux connaissances scientifiques sont utilisés dans l'interprétation de certains passages du Coran, incompris ou mal interprétés jusqu'alors, constituent l'apogée de cette confrontation entre les Ecritures et la science. De plus, à une époque où pour de nombreuses personnes,  la vérité scientifique a asséné un coup fatal aux croyances religieuses, ce sont précisément les découvertes scientifiques, suite à un examen objectif de la Révélation Islamique, qui ont permis de mettre en évidence le caractère surnaturel de certains aspects de la Révélation.
L’Islam encourage l’Homme dans sa recherche du savoir pour que, d’une part, il puisse améliorer sa perception de l’ordre cosmique, et d’autre part, pour développer ses capacités, afin de mener à bien son rôle de vicaire d’Allah, Exalté soit-Il,  sur Terre. Le Coran semble donner une attention particulière à l’observation des cieux dans cette quête du savoir. Il dit (sens du verset) :  Et Nous avons fait du ciel un toit protégé. Et cependant ils se détournent de ses merveilles. (Coran 21/32)
Ainsi, des preuves importantes semblent voir le jour dans le monde moderne, prouvant que le Coran renferme des révélations qui transcendent l’espace et le temps, pour faire partie de l’ordre cosmique, pour guider l’humanité et renforcer les liens entre la religion et la science.

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